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Qu’en sera-t-il de l’agriculture une fois les projecteurs éteints ?

Tribune, le salon permet de sensibiliser le grand public et les politiques aux questions agricoles. Tout le monde s’y rend avec beaucoup d’affection mais les agriculteurs attendent davantage.

Alors que les concours s’enchaînent, ici celui de la race parthenaise, les agriculteurs aimeraient que leurs difficultés, les portes du salon de l’agriculture fermées, continuent de mobiliser.
Alors que les concours s’enchaînent, ici celui de la race parthenaise, les agriculteurs aimeraient que leurs difficultés, les portes du salon de l’agriculture fermées, continuent de mobiliser.
© C.P.

La ferme digitale, la ferme connectée ou encore la ferme ce lieu de production d’énergies… Non loin des produits, signature de l’identité agricole et des traditions des différentes régions de France, à quelques allées des animaux, emblèmes des savoir-faire de toute une profession, l’agriculture du XXIe siècle s’exposait au salon de l’agriculture à Paris. Si la finalité du travail des exploitants agricoles de France est la même aujourd’hui qu’hier, la manière d’y tendre change. C’est incontestable. Pour élever les belles parthenaises, en concours vendredi 3 mars, ou encore les agneaux de races bouchères qui donneront les succulents gigots labellisés en Label Rouge le Diamandin, les éleveurs ont, via les nouvelles technologies, de nombreux outils pour, tout en améliorant les conditions de travail des hommes et les conditions de vie de l’animal, améliorer la productivité, l’impact environnemental de leur activité, la rentabilité de leurs exploitations. Un dernier point, qui en période de crise, sans être plus important que les deux précédents, raisonne comme prioritaire.

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