Lait
Les éleveurs de chèvres demandent une hausse du prix de 50 € aux 1000 litres
Lait
Les producteurs de lait de chèvre de Poitou-Charentes et des Pays de la Loire demandent « unanimement » une revalorisation du prix du lait de 50 € les 1 000 litres sur les livraisons des mois d’octobre, novembre et décembre 2012, et une revalorisation supplémentaire de 70 € les
1 000 litres dès le début de l’année 2013. « Sans cette revalorisation, de nombreux producteurs vont arrêter la production et les autres seront en grande difficulté », expliquent-ils.
Dans un communiqué commun, ils estiment que « les sacrifices consentis par les éleveurs pour maîtriser la production (baisse des volumes et des prix) ont porté leurs fruits », avec l’adéquation offre-demande qui est désormais atteinte et la flambée des coûts de production qui nécessitent « un réajustement urgent des revenus des éleveurs ».
« La hausse des coûts de production fragilise aujourd’hui la filière et la tentation peut être grande de retrouver rapidement des volumes. Mais la raison doit l’emporter pour qu’en premier lieu, le prix soit revalorisé. »
Les éleveurs estiment que « l’augmentation des volumes ne peut être la solution à l’augmentation des charges, seule la rentabilité du litre de lait produit peut améliorer le revenu des éleveurs ». Ils demandent donc des prix avant les volumes.
Ces revendications seront portées par les représentants de la famille production du Brilac, lors de la table ronde sur la filière caprine, le 4 octobre à la préfecture de région.
1 000 litres dès le début de l’année 2013. « Sans cette revalorisation, de nombreux producteurs vont arrêter la production et les autres seront en grande difficulté », expliquent-ils.
Dans un communiqué commun, ils estiment que « les sacrifices consentis par les éleveurs pour maîtriser la production (baisse des volumes et des prix) ont porté leurs fruits », avec l’adéquation offre-demande qui est désormais atteinte et la flambée des coûts de production qui nécessitent « un réajustement urgent des revenus des éleveurs ».
« La hausse des coûts de production fragilise aujourd’hui la filière et la tentation peut être grande de retrouver rapidement des volumes. Mais la raison doit l’emporter pour qu’en premier lieu, le prix soit revalorisé. »
Les éleveurs estiment que « l’augmentation des volumes ne peut être la solution à l’augmentation des charges, seule la rentabilité du litre de lait produit peut améliorer le revenu des éleveurs ». Ils demandent donc des prix avant les volumes.
Ces revendications seront portées par les représentants de la famille production du Brilac, lors de la table ronde sur la filière caprine, le 4 octobre à la préfecture de région.