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Dix élevages charolais ouvrent leurs portes la semaine prochaine

Dix élevages ouvrent leurs portes jeudi 1er et vendredi 2 septembre. L’occasion de rencontrer de manière informelle les exploitants et de conclure quelques ventes, avant le tourbillon des concours de la fin d’année.

© DR

C’est devenu un rendez-vous régulier des éleveurs de Charolaises : à la rentrée, le syndicat charolais 79 organise des portes ouvertes chez ses adhérents les 1er et 2 septembre. Cette année, ils sont dix à ouvrir leur exploitation aux acheteurs, mais pas que. « Même si les éleveurs n’ont pas l’intention d’acheter tout de suite, ils peuvent faire un tour pour discuter de manière informelle, voir le cheptel et prendre des renseignements pour de futurs besoins », indique Catherine Gallard, co-présidente du syndicat. Depuis deux éditions, le syndicat fournit d’ailleurs une liste des bêtes à vendre (voir encadré) pour aiguiller le futur acheteur dans ses visites.

Quatre manifestations

Ensuite, le syndicat départemental sera bien occupé jusqu’à la fin de l’année. Le 7 septembre, un éleveur se rendra à Magny-Cours pour le concours national veau. Ensuite, une douzaine d’animaux seront en présentation dans le cadre d’Ambiance Terre, les 24 et 25 septembre à Bocapole, à Bressuire. Puis le Sommet de l’élevage, à Cournon, arrivera vite, du 4 au 7 octobre. « Trois éleveurs devraient s’y rendre. C’est important d’être présents car la Charolaise est à l’honneur cette année mais cela nécessite beaucoup d’organisation, avec un déplacement sur cinq jours difficile à concilier avec les astreintes de la période ».

Enfin, l’année se terminera sur les Conviviales de Bressuire, les 4 et 5  novembre. La formule sera un peu remaniée avec un salon qui se tiendra les vendredi et samedi et non plus les jeudi et vendredi. Un changement qui vise à attirer le grand public, qui se verra proposer un repas « simple et accessible » le samedi midi, dont les modalités restent à définir. Les organisateurs espèrent 130 animaux, dans la moyenne des années précédentes. « On est tout de même conscient que c’est une année compliquée pour la préparation des animaux. Les performances ne sont pas les mêmes quand on affourage au champ ou pas. On verra bien, on compte sur le dynamisme de la race et la bonne ambiance », assure l’éleveuse de Secondigny.

Pour maintenir cette bonne ambiance, les éleveurs ont d’ailleurs prévu de se retrouver « pour un moment de détente », au lendemain des portes ouvertes, dans deux élevages du nord du département.

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