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Table ronde : Créer de la valeur ajoutée pour enrichir les territoires

Quand les marchés jouent au yoyo, comment capter de la valeur ajoutée dans l'exploitation et autour. Thème de l'après-midi de l'assemblée générale de la FNSEA 17.

Gilbert Mazaud, Daniel Prieur, Hélène Berhault-Gaborit et Vincent de Lamarlière.
Gilbert Mazaud, Daniel Prieur, Hélène Berhault-Gaborit et Vincent de Lamarlière.
© AC

Qu'est-ce qui relie un producteur de lait pour le fromage de Comté, un producteur de semences et un producteur de broutard ? La devinette était des plus sérieuse puisqu'elle constituait le fondement de la table ronde qu'organisait la FNSEA 17, vendredi dernier, à Saintes à l'issue de son assemblée générale. Ce qui les reliait était, et est, la quête de la valeur ajoutée. Dans les fluctuations que connaissent les marchés, plutôt enclins à raser le plancher que voler dans les hauts de courbes, capter dans l'exploitation les éléments qui permettent d'engranger de la valeur ajoutée est le «sport» quotidien des filières agricoles. Si comme Daniel Prieur, Franc-comtois, vice-président de la FNSEA nationale, il est une évidence, celle de la démarche commune, il la partage avec Gilbert Mazaud, dont la société la ferme Saint Martial a choisi le «contre-pied» du marché : faire des broutards en Auvergne plutôt que d'exporter des veaux dans un marché plus que morose.

Lire la suite dans notre édition du 17 mars

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